Passages et dérives Michel Ratté

- Compositeur(s): Jean Beaudet, Yves Charuest, Guillaume Dostaler, Jean-Claude Patry, Michel Ratté, Marc Tremblay
- Interprète(s): Trio Michel Ratté, Jean Beaudet, Wreck’s Progress
The main thing is the music and the music, in the main, is of high quality. — Musicworks, Canada
Heady jazz improvisation led by the very talented percussionist Ratté. The playing is very tightly wound with fluidity that tempers its “difficulty”. The pieces that make up the 30 minutes of “Wreck’s Progress” employ synths, samples and prepared percussion resulting in a surprising restrained imploding of clicks, nicks and nacks. — N D - Magazine, ÉU
Michel Ratté nous présente un deuxième album, intitulé Passages et dérives sur étiquette AMIM, après avoir produit Musique ~ Idée en 1990. Michel Ratté, batteur/percussionniste, crée une musique amalgamant avec une profondeur inédite la tradition afro-américaine et les approches alternatives de l’improvisation qui nous sont contemporaines.
Passages et dérives, c’est huit pièces traversées par un questionnement sur le geste improvisateur dépassant la soi-disant contradiction entre la spontanéité et la réflexion. C’est aussi les passages (et les dérives) d’un projet d’improvisation collective à l’autre; du Trio Michel Ratté & Jean Beaudet à Wreck’s Progress ainsi qu’un livret bilingue de 28 pages rédigé par Ratté traitant de ces passages et dérives dans sa musiques improvisée.
- Association des musiciens improvisateurs de Montréal
- AMIM 9411 / 1994
- UPC/EAN 771028241125
- Durée totale: 66:41
- 1
- 2Huit, 5:55
- 3Quatre-b, 10:24
- 4Sept, 9:25
- 5Sept-b, 5:38
- 6Matières et matériaux VI, 6:25
- 7Matières et matériaux V, 10:08
- 8Matières et matériaux XI, 13:53

Passages et dérives
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CD 2.0AMIM 941116,95 CAD
La presse en parle
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Paul Dutton, Musicworks, no 68, 1 juin 1997The main thing is the music and the music, in the main, is of high quality.
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N D - Magazine, 1 juin 1997Heady jazz improvisation led by the very talented percussionist Ratté. The playing is very tightly wound with fluidity that tempers its “difficulty”. The pieces that make up the 30 minutes of “Wreck’s Progress” employ synths, samples and prepared percussion resulting in a surprising restrained imploding of clicks, nicks and nacks.